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Expos 2002

Photographe de mode et de publicité depuis 1968, elle obtient très vite éloges et prix à Paris, Londres, New York ou Tokyo, où ses expositions sont très remarquées. Ses photos font l’objet de publications dans de nombreux magazines (Vogue, Sunday Times, Harper’s Bazaar

Sabine Weiss a acheté son premier appareil-photo avec son argent de poche à l'âge de douze ans. Au début, ce sont des photos de ce qu'elle trouvait beau, curieux ou encore intéressant qu'elle a pris.

Jane Evelyn Atwood est née en 1947 à New York. Après des études de théâtre, elle voyage en Europe et s'installe à Paris en 1971 où, quelques années plus tard, elle entreprend de photographier des prostituées.

Sans véhémence ni gesticulation, avec l'humilité de ceux qui savent écouter pour mieux partager, Marie-Paule Nègre se glisse au sein du visible qu'elle rend soudain signifiant, d'un effleurement du regard.

Au début des années 70, résolue à se pencher sur les problèmes d'identité chez les femmes, Nancy Wilson-Pajic utilise des médiums comme la performance, la vidéo ou la séquence photographique narrative, pour transmettre une image positive de l'expérience féminine.

En 1918, elle travaille à Vienne (Autriche) dans l'atelier du photographe Franz Xaver Setzer. Un an plus tard, elle devient assistante dans l'atelier de Rudolf Dührkoop à Berlin (Allemagne), puis retourne en Hongrie où elle ouvre à Budapest son 1er studio.

Née à Budapest en 1890, elle quitte la Hongrie en 1913 et part pour Paris avec sa sœur. De 1914 à 1917, elle est enfermée dans un camp d'internement. A partir de 1928, elle revient vivre à Paris, et s'achète un appareil Rolleiflex pour apprendre à faire des photos. Elle signe ses premières prises, du nom de Dumas-Satigny.

Nathalie Amand est diplômée en arts plastiques, option photographie de l'Institut Saint-Luc à Tournai. Elle a également été élève libre à la Cambre. Aujourd'hui, elle est animatrice de l'atelier photo de la Maison de la Culture de Tournai.

Fascinée par l'humain, elle consacre ses recherches personnelles au social et à la Street photography. Depuis plusieurs années elle expose ses photos en France, principalement à Paris et Arles, et en Italie.

Treize années comme mannequin lui ont permis d'observer avec attention les techniques et les démarches artistiques des professionnels du monde de la photographie qui l'entouraient.

Les rencontres avec des femmes ; le côté voyeuriste génèrent mon travail. Un plaisir ineffable et perturbant. Photographe et vidéaste, Anne La Plume est née en 1971 à Arras et vit en Belgique Elle a suivi une formation artistique à Saint Luc à Tournai, et enseigne les arts plastiques en France depuis 1994.

Elle réalise de nombreux reportages sur divers sujets : les boxeurs de new-yorkais, l'armée italienne, le monde du cirque en Italie, les Russes, la Légion Etrangère, les toreros espagnols

Nadia Benchallal est née le 24 juin 1963 à Orthez dans les Pyrénées. En 1990, elle fait ses études au Centre International de la Photographie (I.C.P.) à New York.

Infatigable, elle a photographié les rue japonaises et les costumes du théâtre populaire Malais, les campagnes bretonnes et les déserts arctiques. Mais à l'heure où se brouillent les fuseaux horaires, quand pointe la dictature de l'image - minute, elle prolonge la tradition du reportage au long cours. Cette voyageuse prend son temps pour traduire ses périples en images.

De 1974 à 1983, Deborah Metsch passe son enfance à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Elle voyage au Togo, au Burkina Faso, au Mali et au Bénin. En 1997, elle revient en Afrique, à Accra cette fois-ci, et redécouvre les pays limitrophes du Ghana. Elle retrouve ainsi ses impressions d'enfance et les photographies.

Anabell Guerrero est née en 1955 à Caracas. Après des études d'économie et de sciences politiques, elle s'installe à Paris où elle vit depuis 1986. Depuis cette date, elle se consacre exclusivement à la photographie.

Valeria Sangiorgi, née dans la province de Rovigo, vit et travaille à Turin. Son regard est tourné vers l'auto-analyse ironique

Née en 1962 à Milan, Marina Gavazzi vit et travaille à Antibes. Pour elle, seule importe la réflexion, le parcours méditatif qui sous entend l'image finale.

Elle a exercé la photographie comme hobby jusqu'en 1995 ( ses deux derniers travaux photographiques ont été "Bruxelles la Nuit" en 1994 et "la Birmanie" en 1995 ). De 1995 à 1998, elle décide d'approfondir ses connaissances et suit l'enseignement de photographie de la Ville de Bruxelles

En 1997, la photographie devient pour elle une réelle passion. Depuis, son travail a été exposé dans de nombreuses expositions collectives ou individuelles en Allemagne et à l'étranger


Elle a pour démarche photographique de s'immerger dans des communautés humaines qui lui sont complètement étrangères, bien que géographiquement très proches, pour des reportages de longue durée.

F68 est constitué d'un groupe limité de photographes autonomes issus du Limbourg Néerlandais et de la région de Liège. Il se caractérise comme un groupement d'individualités ayant en commun la passion de la photographie.

Marie est issue du Nord de la France. Attachée à sa région, elle y photographie divers sujets. Tous sont marqués par la nécessité du contact avec l'Homme.

Les séries sur les chemins de fer représentent une exploitation graphique dans le rendu photographique. Le rapport support / surface de la matière accentue l'aspect sensible du sujet

Elle découvre réellement la photographie en fréquentant le laboratoire de l'ARIAP de Lille en 1999. L'année suivante, elle poursuit son apprentissage du développement en noir et blanc dans l'atelier photo de l'Université de Lille I.

Lui permettre d'exposer ses photos est une réponse au flux d'images "bombardées", jour après jour, mélange inextricable de fiction, de réalité, de référents de toutes sortes. L'appareil photo "jetable" devient un outil didactique et politique.

Après avoir été assistante dans un studio puis photographe durant deux ans dans un hebdomadaire, elle est aujourd'hui photographe indépendante sur Lille.

Qui est Pilar Hélène Surgers ? Une des ces " folles de l'Afghanistan ", de celles qui sont parties avant le 11 septembre, à la rencontre de l'Histoire, à la rencontre de Massoud qu'elle interviewe

Parallèlement à cette activité, elle poursuit son travail photographique en abordant des sujets, toujours très personnels, en étroite relation avec les moments forts de sa vie.

Cette photographe, à la fois européenne et polynésienne de souche, poursuit depuis plusieurs années un travail photographique qui s'apparente a un témoignage de la vie polynésienne

Ses photographies ont été publiées dans Reflex magazine, Focus, International Herald Tribune, Czech Elle, PourVoir, et dans beaucoup d'autres publications.

Couple berlinois au sexe mal défini, incarnation vivante de l'art contemporain de rue, elles (ils?) sont des œuvres vivantes au look plutôt marginal. Pour le monde de l'art traditionnel et sérieux, elles sont un choc.

Son travail consiste en un jeu de composition de volumes, d'ombres et de lumière afin de créer une photo qui inspire. Tout se fait sur 4x5INGH avec caméra technique.

En 1997, elle achève ses études comme lauréate dans les arts plastiques, section photographie à l' institut St. Lucas de Bruxelles. En 1998, elle reçoit le premier prix de la ville d' Anvers, pendant l' été de la photographie.

Reporter photographe au quotidien Liberté. Adolescente, elle a découvert la photo avec son frère, alors étudiant aux États-Unis, qui s'amuse à faire des photos pendant ses vacances au pays.

Elle a débuté la photographie en 1983, se consacrant au reportage social et ethnologique. Elle collabore avec diverses revues italiennes et étrangères et expose de nombreux travaux personnels et collectifs en Italie ou à l'étranger.

Les photographies de cette série découlent de la fascination par la réalité et de l'observation de la vie quotidienne, à une place et à un moment particulier.

Sylwia a étudié le design graphique et la photographie à l'Académie des Beaux-Arts de Cracovie et au Collège d'Art d'Edimbourg. Joueuses et sensuelles, ses images comprennent une juxtaposition surprenante d'intérieurs et de paysages

En tant que photographe, elle se sent moins attirée par les paysages que par la présence des gens, à qui elle semble vouloir donner une seconde existence sur pellicule.

Elle fait de la photographie depuis toute petite. Elle a suivi une formation artistique globale à l'ENSAD à Paris, avant une formation pour le tirage et la prise de vue à l'ARPA avec Jean-Marc Lacabe

Sa rencontre avec M. Vasco Ascolini est décisive : elle crée alors ses premiers travaux photographiques, choisis ensuite pour faire partie des collections d'importantes institutions de niveau international.

Francette Gourmaud vit et travaille à La Roche-sur-Yon. De 1989 à 1997, elle suit des cours à l'Ecole d'Art de La Roche-sur-Yon, puis à l'Ecole des Beaux-Arts de Nantes

Plus récemment, elle s'est initiée à de nouvelles techniques photographiques comme la prise de vue au sténopé, des photogrammes en cyanotypie, des travaux sur tirages numériques grand format.

Après un diplôme de photographie et de publicité obtenu à la Nippon Photographic College en 1988, elle travaille comme régisseur dans le milieu de la publicité durant huit ans à Tokyo.

Dans ses photos, ni visages, ni paysages, juste des petits bouts du monde qui disent probablement beaucoup de choses en un coup d'œil.

Née en 1964, Fabiana Figueiredo est photographe professionnelle depuis la fin des années 80. Elle participe à la fondation de l'agence N-Imagens, au côté de Naïr Benedicto. La même année, elle participe à la fondation du groupe Nafoto qui réalise le mois de la photographie à Sao Paulo. Elle y est successivement coordinatrice et assistante directrice artistique.

Elle poursuit parallèlement un travail suscité par son journal photographique. Elle expose régulièrement en France et à l'étranger et a déjà publié plusieurs livres.

Née le 25 mars 1974 à Roulers, elle décide de prendre des cours de photographie lors d' une visite de l'Ecole Graphique HIGRO-VISO, marquée par l'impression que lui ont fait les étudiants au travail dans la chambre noire.

1975 sera l'année de la découverte et de l'apprentissage de la photographie : la prise de vue, ainsi que tous les secrets de cuisine du laboratoire, pour tenter d'être maître de tout le processus d'élaboration de l'image photographique.

Elle illustre plusieurs livres : "Bruxelles Multiculturelle ", " Lutherie et Archèterie contemporaines bruxelloises "… Elle a photographié la femme, les gitans , les coulisses du cirque, ou encore les carnavals de Tournai, Bruxelles et Marseille.

Ses études photographiques sont abstraites, pleines de couleurs vives, avec un assemblage de matières et de formes. Elle est une photographe de détails qui laisse l'imagination libre d'évoquer l'ensemble du sujet.

Après l'obtention de sa licence d'arts plastiques, elle poursuit sa recherche dans l'élaboration de Sténopés plus perfectionnés, jusqu'à une production couleur très onirique. L'architecture semble être un centre d'intérêt récurant à travers ses images.

Elle a participé à de nombreuses expositions collectives, mais a aussi souvent exposé seule, sur des thèmes aussi divers que " Avoir 20 ans en l'an 2000", " Portraits de famille " ou encore " Mémoire d'avenir ".

Elle a vécu à Londres jusqu'en 1993, obtenant un diplôme de Beaux Arts et de design à l'université de Guildhall, tout en continuant à travailler sur divers projets.

Née en 1976 à Lausanne en Suisse, Sandra Guinand possède aujourd'hui la double nationalité : suisse et portugaise.

Elle a travaillé pour Le soir, Le soir illustré, La Meuse, et est correspondante de l'Illustration de Paris. En 1940, et de 1945 à 1946, elle a été correspondante de guerre.

Quelques unes de ses photographies ont été prises dans ce coin secret de l'Europe centrale, durant ses nombreuses journées là-bas et ses nombreux " retours " depuis son émigration en Suède en 1970.

Béatrice Joly a commencé sa carrière au théâtre avec notamment la Compagnie Hervez-Luc, le Cosmos Kolej, ou encore le Ballatum théâtre. Elle s'est ensuite dirigée vers la photographie, commençant par des mises en scène photographiées.

De nationalité belge, Caroline Léger est née à Linselles en 1963 . Elle s'est initiée à la photographie à l'Institut Vauban d'Ath et au stylisme, à l'Institut Saint-Luc à Tournai.