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Transphotographiques / Lille / Hauts-de-France
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Expos 2004

Associer le talent incontestable d'un artiste qui a marqué toute une génération dans le monde entier, à une réalité régionale simple, touchante, humaine : celle d'un territoire en pleine mutation

Transformer un espace, mais aussi transformer notre perception de cet espace, tel est l'un des enjeux esthétiques de l’œuvre de Georges Rousse

Ces images sont un hommage aux travailleurs, l'adieu à tout un monde qui est en train de disparaître lentement, un tribut à ces hommes et à ces femmes qui travaillent encore avec leurs mains, comme ils l'ont fait pendant des siècles

L'architecture a inspiré à Patrizia Mussa ses plus belles images. Théâtres d'Italie et d'ailleurs, Châteaux Baroques, architectures des cafés, abattoirs, …

Ce regard à la fois contemplatif et analytique, Jean-Christophe Ballot le doit peut-être à sa formation initiale d'architecte : " Etre architecte, même si l'on n'a jamais construit, c'est avoir un rapport, un regard particulier à l'espace.

Cette exposition de photographies, est l'illustration de l'ordre et du chaos, et de leur mise en miroir.

Le corps est omniprésent dans la création artistique contemporaine. Sujet esthétique, mais aussi enjeu politique, il joue et se joue des ambiguïtés de son statut.

Exposition, réalisée à partir des collections de la Maison Européenne de la Photographie, retrace l'histoire récente de ces métamorphoses.

Voilà pourquoi depuis des décennies, les artistes n'ont eu de cesse de se l'approprier. Du body art des années 70, qui fait du corps le matériau premier de l'art, à la fascination clonique d'aujourd'hui à travers le virtuel et les avatars de l'auto-représentation.

Sur le thème de la transformation, illustrées par les différentes expositions, ces Transvidéographies offrent un complément indispensable

Les nouveaux européens de la communauté vus par les lauréats de la Bourse de la Fondation Hachette.

Mes modèles, je les choisissais avant tout jeunes et beaux, pour ne pas tomber dans le pathétique. Je voulais photographier des anges.

Les sérigraphies grands formats auxquelles fait référence Philippe Piguet, extrait d'un travail réalisé à Paris pour la gare d'Austerlitz, en 1980, sont présentées dans la cour de l'Hôpital du Hainaut de Valenciennes comme des fragments d'une performance passée.

Durant 10 jours en mars 2004, le photographe polonais Waldemar Sliwczynski, originaire de Wrzesnia et rédacteur en chef du magazine spécialisé Photografia, a posé son regard sur la ville de Croix.

Pour ce travail , qui s'inscrit dans la continuité de sa recherche sur le devenir des villes et plus particulièrement de Paris, Bogdan Konopka a principalement utilisé une chambre 20 x 25 cm, un matériel lourd et encombrant qui conditionne déjà l'attitude de l'artiste.

Si la nature existe bien à Lille, comme partout ailleurs, elle semble avoir quitté l'agora pour s'exprimer autrement, et l'urbain semble avoir totalement dompté l'élément naturel, jusqu'à l'exclure.

Philippe Alexandre, photographe-architecte lillois, nous offre une vision métamorphosée de sa ville.

Yolande Mukagasana, une rescapée des massacres et un photographe, Alain Kazinierakis ont été à la rencontre de survivants dans les collines et de prisonniers accusés d'avoir participé au génocide.

Première friche industrielle de France par sa taille et sa toxicité, Métaleurop-Nord en activité pendant plus d'un siècle (sous différents noms) apportait manne et poison aux communes alentour.

Les images proviennent de superpositions photographiques différemment filtrées dont les tirages sont ensuite relevés par une coloration manuelle et l'application de dorures véritables.

Metteur en scène avant tout, il reconstitue en studio des tableaux à partir de ses préoccupations et dérangements intimes.

Il s'agit de conjuguer les univers personnels forts de chacun des photographes au sein d'une exposition dépassant la simple addition d'histoires

Noirs (et blanche) rassemble les images issues de ma rencontre avec les habitants du village de YAKA au Togo

Dans la campagne chinoise, l'horizon n'était pas plus loin qu'ailleurs, la foule ne m'écrasait pas et, avec mon guide (Lonely Planète, bilingue anglais chinois), je me suis débrouillé pour m'orienter et me déplacer en utilisant les transports locaux.

À travers une série jusqu'ici inédite de clichés saisis entre 1990 et 1996, Stéphane Himpens dévoile un regard sensible sur les émotions scéniques de quelques légendes de la musique de ce siècle.

Puissant et fragile, expressif et secret Le corps nous interpelle sans cesse

Un jeu d'intérieur-extérieur sera présenté du 5 juin au 17 juillet 2004 à La Sécu par 4 photographes d'origines et d'univers différents.

La Phénoménologie de l'espace est au cœur de la représentation : écart entre espace référentiel et espace photographique, dialectique entre l'immensité qui génère l'image et l'image de l'immensité.

Je sortais toujours le soir, la nuit si belle, je ne l'avais jamais perdue. Photographier des lieux vides dans le noir qui vous font vous arrêter.

Ces lieux sombres, bâtis au début du XXème siècle sur les principes anciens des citernes d’Alexandrie et Istanbul, ont l’allure de forteresses imaginaires en extérieur.

Ces photographies ont été prises dans des lieux que l'on peut louer pour vivre des fantasmes érotiques : des pièces accessibles comme les coulisses de désirs et d'envies sexuels et décorées en fonction de différents thèmes.

La réalisation des "fenêtres qui parlent" s'appuie sur la démarche de choix artistique des habitants et sur la démarche de création in situ de plusieurs artistes.

A toi mon père qui, par tes photos a su me faire passer les messages de tes nombreux voyages. Entre Moscou, l'Afrique et les Caraïbes, je ne t'ai pas vu souvent

La pratique de la photographie est une relation fragile entre le médium, le réel, le photographe.

J'ai beaucoup voulu jouer sur les contrastes afin de faire ressortir les matières et les volumes du port.

Sous l'emprise d'un éphémère, effet mer, François VAN HEEMS photographie souvent l'instant d'après la pose.

Ce voyage commence à Paris, dans mon atelier de photographies. Ce projet est né au cours de promenades, sur les trottoirs de ma ville où les gens se croisent.

Il est des voyages qui marquent, des villes qui laissent leurs empreintes dans nos mémoires, des endroits dont on se fait une idée bien précise avant même d'y être allé.

Il est des voyages qui marquent, des villes qui laissent leurs empreintes dans nos mémoires, des endroits dont on se fait une idée bien précise avant même d'y être allé.

L'errance comme recherche irraisonnée de ce qui n'existe plus, qui a disparu. J'ai voulu travailler sur le lieu en tant que témoin visuel, presque palpable de l'épreuve du temps.

Dans les années 1970 et 1980, Sylvie De Leu (Courtrai) a photographié des Courtraisiens dans leur décor, leur magasin ou leur café, avec leur triporteur ou leur vélo, en vêtements de travail ou en uniforme.

Je me suis construit, fruit de mes voyages, une ville européenne fictive. Ses quartiers s'appellent Londres, Paris, Plovdiv, Poznan, Barcelone, Coïmbra, Lyon, Braga, Rome

De Tchéquie au Mexique, du Maroc au Chili, de Chine au Pôles… Ruth Kaplan s'immisce dans l'intimité du rituel de l'eau.

Tout ici est de l'ordre du ressenti et de la profondeur de l'âme et, c'est alors un auteur qui se livre derrière ses images.

Les photographes du collectif Marge ont d'abord la passion de l'image, celle qui fixe dans le temps l'empreinte d'un lieu, d'un visage, d'une attitude, d'une lumière, d'une histoire ou d'un moment.