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Transphotographiques / Lille / Hauts-de-France
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Expos 2005

Photographier la France est un projet ambitieux, presque inaccessible, tant ce pays est varié.

Les photographies rassemblées au musée des Beaux-Arts de Lille mêle portraits, nus, photographies de mode, vues de l'atelier.

Thibaut Cuisset prolonge cette réflexion sur l'environnement de l'Homme en présentant la première partie d'un projet en cours, intitulé " Nord-Sud ou comment raconter une géographie en rencontrant l'histoire ".

Convaincu, comme il l'écrit, que l'exotisme portait un costume en Tergal gris et logeait à un demi ticket de métro de chez lui, Jean-Philippe Charbonnier a commencé à photographier, en 1975, dans un rayon d'un kilomètre, son environnement le plus proche.

Premier port de pêche de France, Boulogne-sur-mer est devenu après la seconde guerre mondiale une zone industrielle aux rues bordées d'ateliers et de magasins de marée, aujourd'hui en pleine restructuration

Yto Barrada est une jeune artiste franco-marocaine. Elle partage son temps entre Paris et Tanger, où elle s’occupe de la Cinémathèque, qu’elle a contribué à fonder. L’artiste montre à quel point l’espace urbain, jusque dans ses détails, est marqué par ce désir de l’exil.

Le photographe a rassemblé des vues de façades et de bâtiments anonymes et inquiétants par leur façon de masquer et de suggérer un drame.

La série intitulée " Oswiecim " porte le nom de la ville de Pologne où l'Allemagne nazie a implanté le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz.

La guerre est partout présente : trous d'obus, tranchées remplies d'eau de pluie, bidons, fusils, casques allemands et français, autant de débris oubliés, et que la terre n'a pas engloutis.

Les photographies ont été réalisées dans le but de dresser un état des lieux complet d'un site : un village d'Auvergne d'environ 600 habitants, situé à 25kms de Clermont-Ferrand.

Les photographies exposées dans l'Aquarium de Valenciennes, des paysages vides, gagnés par une atmosphère de désolation, ouvrent une autre question : celle de la représentation d'un lieu mythique, présent dans la mémoire collective, confronté à la banalité de son état actuel.

Ce jeune photographe, issu de l'école nationale supérieure des Arts décoratifs de Paris, affiche dans l'espace urbain une série de douze images représentant des "voitures cathédrales".

Le travail présenté à Courtrai, qui est au départ un livre et qui prend la forme d'une exposition, raconte un voyage plus long et intime : le territoire du temps et de la mémoire familiale.

Depuis un certain nombre d'années, au hasard des déambulations pour la plupart dans les villes, je capte, en les enregistrant photographiquement, des détails du paysage urbain

Moments uniques et magiques lorsque, sous la douce lumière hivernale, je capte ces éléments naturels grâce à mon vieux Rolleiflex intemporel

Fuyant le vif du sujet, Yveline Loiseur élabore ses images dans une scénographie théâtrale à partir de l'observation attentive du quotidien.

Depuis la nuit des temps, on prête au bain de nombreuses significations symboliques: rapport au ventre maternel, lieu de nettoyage, de purification

J'ai commencé à photographier des paysages suite à d'autres travaux plus abstraits orientés sur le détail et la distorsion optique propre à la chambre photographique.

Nice, son actuel port d'attache, est de ces villes qu'il nous entraîne dans un monde de "révélations", son monde où tout est imagination, suggestion, où la trace des hommes prend une signification particulière.

Polonaise, hispaniste, francophile, journaliste, poète et professeur d'université, Marta Eloy Cichocka est une photographe attentive aux images comme aux mots.

J'aime que mes photographies soient à la fois une critique ironique des petites vanités architecturales et une observation respectueuse des désirs humains.

Ces dernières années, en travaillant dans différents endroits, j'ai pratiqué la méditation, créé des autoportraits, voyagé dans plusieurs pays.

Il y a un an, nous avons décidé de photographier l'Europe en suivant une route qui traverserait les 25 pays de l'Union de 2004, une transeuropéenne. La Nationale zéro.

Je recherche dans l'espace urbain ces figures inédites que l'œil ne perçoit pas toujours, ces "non-lieux" qui apparaissent dans le cadre de mes images

L'instant photographique n'existe pas dans mon travail. Toutefois en utilisant la camera obscura chargée d'un négatif papier j'écris aussi avec la lumière.

Je me suis souvent demandé pourquoi il n'y avait pas de personnages dans mes photos personnelles alors que mon travail consiste à photographier des scènes de vie.

Le corps nous instruit par le cheminement de la révélation plutôt que par celui de la vision, mettant la raison de côté pour laisser aux émotions et au pouvoir des sens le soin de communiquer.

Un souvenir qui se forme se déforme. Le temps déforme et la matière coule avec lui. Je veux qu'il coule aussi sur mes images.

Joyau méconnu de la planète, le site de Bamiyan s'est ouvert au monde le jour de sa fin, une funeste journée de mars 2001.

Photographier des gens de dos, dans l'attente, la contemplation, l'ennui, la peur… J'interroge le silence et l'intimité de leur espace.

Collectif de cinq photographes de la métropole lilloise réunis par leurs sensibilités communes et leurs approches différentes de la photographie.

Ces images sont une représentation des éléments réels, créant une géographie qui leur est propre, inventant un nouvel espace.

Autoportrait. Un par photographe. Chacun son image. L'objectif comme miroir. Face à face. Les photographes de l'Union des Photographes Créateurs créent l'exposition "Un œil sur moi" autour de l'autoportrait.

Ces photographies représentent une partie du travail que je réalise depuis cinq ans sur Wazemmes.

Ces photographies représentent une partie du travail que je réalise depuis cinq ans sur Wazemmes.

Benoît Dufour a façonné un portrait photographique de la ville marocaine, portrait fait de scènes de vie quotidienne, de visages, de rues…

Dans le cadre de cette exposition La Sécu met en place des ateliers d'animation et de sensibilisation à l'expression artistique et à la photographie.

Toutes les photographies ont été réalisées à l'automne 1977 alors que Leszek J. Pekalski se promenait à pied de village en village.

Laurent Dejente est avant tout un plasticien pluridisciplinaire (vidéo, dessin). A partir de 1997 la photographie devient pour lui une formidable machine à jouer avec les codes de la représentation.

Un chemin de croix n'est pas un spectacle, ni une histoire, ni un destin, c'est un chemin d'humanité tracé par le Christ que chacun peu reconnaître ici et maintenant.

Ces images des quatre coins du monde trouvent leur réunion dans le trouble de l'instant représenté. Le travail porte sur l'attente et l'attention au monde.

3 angles de vues sur 3 jours rock, 3 amis low-fi.

Ils sont nos gratte-ciel à nous, érigés à une époque où le pouvoir communal s'émancipait face aux seigneurs et à l’église.

Guéria a choisi d'inviter cette année quatre photographes autour de la problématique de l'évolution générée par l'Homme et subie par l'Humanité.

Pour l'édition 2005 des Transphotographiques, photographes amateurs, professionnels, artistes, comédiens, tous, ont joué le jeu

Devenu à 38 ans l'une des figures incontournables de la scène artistique chinoise, s'inscrivant comme l'un des principaux représentant du "Gaudy Art", Wang Qingsong traduit les métamorphoses accélérées de la société chinoise

Fidèle à sa démarche, le photographe refuse de travestir la réalité et nous confronte à une vision poignante de la misère de ces familles nomades attirées par le mirage d'une vie plus facile en ville.

Sans parler le chinois, muni d'une détermination à toute épreuve, Gilles Perrin s'est lancé à la découverte de ce pays aux contrastes stupéfiants.

Visages connus ou inconnus, intérieurs souvent cachés, les photographies de Marc Helleboid sont une manière délicate d'entrer dans ce qu'un quartier a de plus intime.

Les portraits d'Olivier Despicht expérimentent la pose comme un travestissement, un mensonge. Rien de psychologique, de biographique, de livré, mais des images au caractère figé qui font éclater les dispositifs les plus conventionnels à force d'intensité.

C'est au cours de mes études que j'ai commencé à photographier en Belgique, promenades photographiques où le regard se forge.

Les déclics photographiques de Rosetta Messori se caractérisent par la poésie du conte et par l'élégance formelle d'une peinture.

Cette série d'images exprime la difficulté d'être. Comme un poème visuel, entre réel et imaginaire, symbolique et inconscient

Les autoportraits de Kimiko Yoshida constituent différentes manières de sublimer ou défaire "à l'envers" une enfance traumatisée, marquée par l'abandon et l'errance.

Partir, pas forcément pour arriver quelque part. Cultiver l'art de se perdre pour le simple plaisir de vivre ces moments suspendus entre le départ et l'arrivée.

Rosalia Filippetti photographie lors de ses rapides voyages à travers un lieu - se déplaçant en bus, en voiture ou en allant à pieds, par les rues du monde entier.

Exposition rétrospective et créations nouvelles. A travers une esthétique de l'effacement, l'œil de Franck Bernhard interroge le paysage régional sur son identité actuelle.

Cette eau qui coule, patiemment rassemblée, chargée de tous ces alluvions, objets qui flottent, les affluences réelles ou symboliques regroupées au fond des courbes de niveaux.

Rubric-photo est né de l'association de deux photographes, Ruben Falkowicz et Richard Filipiak, autour d'une passion commune : la scène.

D’après Jung, le mariage symbolise la conciliation de l’inconscient, principe féminin, avec l’esprit, principe masculin.

Les images proviennent d'un asile de sans-abri à Nowa Huta, le plus grand de Pologne, qui n'accueille que des hommes.

De la révolte naîtra le cri, du cri la force et la lutte et de cette lutte le sens qui n'en ira pas moins se fondre dans l'étape ultime : le néant

Un être humain est-il jamais un étranger ? Une rencontre doit-elle être d'abord celle de 2 êtres humains ou celle de 2 cultures ?

Marie Amar photographie " l'objet " dans sa réalité et au seuil de la disparition, elle explore l'éphémère.

Des pêcheurs travaillant sur de gigantesques filets de pêche chinois à Cochin dans le Kerala, en passant par les sublimes couleurs et odeurs qui embaument les marchés de Madurai

En 2002, il entreprend un reportage sur les marchés de médecines traditionnelles du centre de Johannesburg, ce qui le conduit à rencontrer des chamanes zoulous. Il a par la suite étendu ce travail à quelques autres ethnies sud africaines.