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Transphotographiques / Lille / Hauts-de-France
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Expos 2009

Ces photographies d’intérieurs, de paysages et de portraits, expriment secrètement le départ et la déperdition. Le projet de Jessica Backhaus est, dès aujourd’hui un « souvenir des choses passées ».

Le travail personnel du photographe Joao Urban de Curitiba est devenue une des références majeures de la photographie dans le sud du Brésil. Ses créations tendent vers la nécessité d’une réflexion sur des thématiques personnelles et sont néanmoins particulièrement universelles.

Les portraits d’Andrzej Dragan sont à la fois terrifiant et fascinant. On éprouve le besoin puissant de revoir et de pénétrer de plus en plus profondément les éléments inhumains et pourtant réalistes des photographies.

Le cycle Untitled de Patrycja Orzechowska est une série de citations de l’univers cinématographique. Aucun film en particulier n’est évoqué – il est plutôt fait allusion à des univers flous et indistincts.

Un simple désir d'aller à leur rencontre. La barrière de la langue ne nous a pas permis de beaucoup dialoguer, mais la photo nous a aidé à communiquer et échanger

Notre idée était de créer une agence représentant d’excellents photographes polonais dont l’expérience professionnelle, combinée à des talents uniques, assureraient les meilleurs résultats à tous les types de réalisations incluant la photographie publicitaire, la mode et l’édition. La barrière de la langue ne nous a pas permis de beaucoup dialoguer, mais la photo nous a aidé à communiquer et échanger

L’exposition “I just want to see the boy happy” comporte un certain nombre de projets photos, de notes sur la vie quotidienne, de clichés commerciaux, tous en corrélation avec un thème central, un garçon polonais.

En plus des projets les plus récents, Krajewska/Wieczorek nous montre les photos de la série devenue culte : Injuries (2005-8) qui dépeint des personnes marquées par des accidents plus ou moins sérieux, des opérations, des blessures, des brûlures.

J’ai pris ces photos durant mes voyages à travers la Pologne. J’ai essayé d’y montrer l’esthétique de la réalité polonaise, le monde semblable à une installation.

Malgré la présence, dans les photographies de Bara Prasilova, d’éléments réalistes issus du style de vie actuel, collections personnelles de stylistes ou encore travaux de créateurs, celles-ci semblent pourtant se référer à une histoire qui leur est propre.

Le conflit dans les régions montagneuses de Nagorny-Karabakh a coûté de nombreuses vies, des milliers de personnes sont mortes et plus d’un million ont été déracinés et ont perdu leur logement.

Patrick Demarchelier est un photographe de mode français connu à travers le monde. À l’origine d’innombrables images emblématiques pour des magazines comme Vogue et Harper’s Bazaar, il est sans doute surtout célèbre pour ses portraits intimes de la princesse Diana

Dita Pepe est une femme aux nombreux visages. Elle est tour à tour l’épouse pleine d’assurance d’un riche entrepreneur, une jeune femme simple de la campagne avec foulard et manteau de fleurs, assise avec une grand-mère habillée de façon similaire dans une maison de retraite

Petr Hrubes, époux (ancien copain de classe) de Dita Pepe, maîtrise parfaitement la technique de la photographie grâce à son travail de portraitiste d’importantes personnalités et de photographe de mode.

Les photographies de cette série caricaturent diverses variantes et réinterprétations de l’homme polonais. A l’origine, je me suis lancé dans ce projet par amusement, jouant sur les conventions avec une certaine exagération.

Au carrefour de l’Europe, de l’Asie et de l’Orient, la mer Noire jette un pont entre plusieurs mondes et s’apprête à changer de visage.

Il y a quelques années, lorsque les polonais commencèrent à quitter leur pays en masse à la recherche de meilleures débouchées professionnelles en Europe de l’Ouest, ils ne reçurent pas un accueil enthousiaste.

La frontière : pure abstraction, ligne non mesurable qui divise deux territoires. Vestige d’un passé lointain, pour les uns,  barrière fine mais infranchissable vers le paradis, pour les autres.

Le cirque Romanès est installé à Paris, près de la porte Champerret, entre des bâtiments sur une cour grillagée. Le décor est planté là, dans l’enceinte du campement, au milieu de quelques arbres et d’un espace vert en friche.

Comme chaque année, mes congés me servent à voyager afin de découvrir de nouveaux horizons. Je prends le temps de me fondre aux scènes de vie afin d’immortaliser le comportement de quelques uns.

Pour mes parents, l’Union Européenne n’existe que sur les écrans de télévision. Même après la chute de l’Union Soviétique dans les années 90, mes parents n’ont jamais voyagé hors de Lettonie car la maigre pension qu’ils perçoivent leur sert moins à vivre qu’à survivre.

Depuis 2003 Grégoire Eloy poursuit un travail sur les confins de l’Europe, sur les traces de l’histoire et la mémoire dans les pays de l’ex-bloc de l’Est.

Cette exposition sur la vie des Roms dans les Balkans est le résultat d’une enquête photographique menée pendant 2 ans par le photographe suisse Yves Leresche. Ce reportage a été réalisé en Serbie, Roumanie, Macédoine, Albanie et au Kosovo.

À l’extrémité est du Japon, sur l’île la plus septentrionale Hokkaido, il y a le cap Nosappu et au-delà, l’archipel des brumes.

On est pas les premiers à déranger la dame assise et sûrement pas les derniers !

Downtown Collection sera une collection représentant une douzaine de personnes porteuses du syndrome de Down, sous une forme habituellement réservée à une photographie de mode qui se base principalement sur la beauté, sur l’esthétique.

Comme j’aime à le dire, parlant du projet Homo Urbanus Europeanus : "Je travaille actuellement pour l’Europe”. Sur le plan de sa philosophie, le projet prend en effet clairement une option politique.