Marie Babey : Les Commandos marine
Elle a pour démarche photographique de s'immerger dans des communautés humaines qui lui sont complètement étrangères, bien que géographiquement très proches, pour des reportages de longue durée.
Elle a pour démarche photographique de s'immerger dans des communautés humaines qui lui sont complètement étrangères, bien que géographiquement très proches, pour des reportages de longue durée.
F68 est constitué d'un groupe limité de photographes autonomes issus du Limbourg Néerlandais et de la région de Liège. Il se caractérise comme un groupement d'individualités ayant en commun la passion de la photographie.
Marie est issue du Nord de la France. Attachée à sa région, elle y photographie divers sujets. Tous sont marqués par la nécessité du contact avec l'Homme.
Les séries sur les chemins de fer représentent une exploitation graphique dans le rendu photographique. Le rapport support / surface de la matière accentue l'aspect sensible du sujet
Elle découvre réellement la photographie en fréquentant le laboratoire de l'ARIAP de Lille en 1999. L'année suivante, elle poursuit son apprentissage du développement en noir et blanc dans l'atelier photo de l'Université de Lille I.
Lui permettre d'exposer ses photos est une réponse au flux d'images "bombardées", jour après jour, mélange inextricable de fiction, de réalité, de référents de toutes sortes. L'appareil photo "jetable" devient un outil didactique et politique.
Après avoir été assistante dans un studio puis photographe durant deux ans dans un hebdomadaire, elle est aujourd'hui photographe indépendante sur Lille.
Qui est Pilar Hélène Surgers ? Une des ces " folles de l'Afghanistan ", de celles qui sont parties avant le 11 septembre, à la rencontre de l'Histoire, à la rencontre de Massoud qu'elle interviewe
Parallèlement à cette activité, elle poursuit son travail photographique en abordant des sujets, toujours très personnels, en étroite relation avec les moments forts de sa vie.
Cette photographe, à la fois européenne et polynésienne de souche, poursuit depuis plusieurs années un travail photographique qui s'apparente a un témoignage de la vie polynésienne
Ses photographies ont été publiées dans Reflex magazine, Focus, International Herald Tribune, Czech Elle, PourVoir, et dans beaucoup d'autres publications.
Couple berlinois au sexe mal défini, incarnation vivante de l'art contemporain de rue, elles (ils?) sont des œuvres vivantes au look plutôt marginal. Pour le monde de l'art traditionnel et sérieux, elles sont un choc.
Son travail consiste en un jeu de composition de volumes, d'ombres et de lumière afin de créer une photo qui inspire. Tout se fait sur 4x5INGH avec caméra technique.
En 1997, elle achève ses études comme lauréate dans les arts plastiques, section photographie à l' institut St. Lucas de Bruxelles. En 1998, elle reçoit le premier prix de la ville d' Anvers, pendant l' été de la photographie.
Reporter photographe au quotidien Liberté. Adolescente, elle a découvert la photo avec son frère, alors étudiant aux États-Unis, qui s'amuse à faire des photos pendant ses vacances au pays.
Elle a débuté la photographie en 1983, se consacrant au reportage social et ethnologique. Elle collabore avec diverses revues italiennes et étrangères et expose de nombreux travaux personnels et collectifs en Italie ou à l'étranger.
Les photographies de cette série découlent de la fascination par la réalité et de l'observation de la vie quotidienne, à une place et à un moment particulier.
Sylwia a étudié le design graphique et la photographie à l'Académie des Beaux-Arts de Cracovie et au Collège d'Art d'Edimbourg. Joueuses et sensuelles, ses images comprennent une juxtaposition surprenante d'intérieurs et de paysages
En tant que photographe, elle se sent moins attirée par les paysages que par la présence des gens, à qui elle semble vouloir donner une seconde existence sur pellicule.
Elle fait de la photographie depuis toute petite. Elle a suivi une formation artistique globale à l'ENSAD à Paris, avant une formation pour le tirage et la prise de vue à l'ARPA avec Jean-Marc Lacabe