Sophie Deballe : Paysages miniers
L’originalité du présent travail de Sophie Deballe est de prendre pour objet de ses photographies des terrils omniprésents dans le paysage du bassin minier, mais jusqu’ici absents du regard.
L’originalité du présent travail de Sophie Deballe est de prendre pour objet de ses photographies des terrils omniprésents dans le paysage du bassin minier, mais jusqu’ici absents du regard.
Lorsque notre regard se pose sur la végétation florissante qui couvre les rocailles de la terre crétoise, une idée nous vient inconsciemment à l’esprit : la vie l’emporte sur les peurs, les incertitudes, sur tout ce qui est dans l’ombre.
Le projet Blow Up qui a pour thème la Nature, a déjà fait l’objet d’une première exposition en 2003. Helene Schmitz a fait le portrait de différentes plantes au cours des quatre saisons. Son objectif était de montrer cette beauté presque surréelle des bourgeons, des
Réalisée en 2004, la série s’organise en deux parties distinctes dont la première partie s’intitule Surface. Elle représente des poignées de terre récupérées sur place pendant les deux mois où l’artiste a séjourné au Vietnam et photographiées en studio à son retour de voyage.
À travers ces expositions, les artistes du Palais Rameau nous font découvrir une nature à deux visages. Celui réinventé d’un territoire qu’ils s’approprient et recréent à travers leurs démarches artistiques. Et celui défiguré d’un environnement dévasté par l’activité humaine et son inconséquence.
Cet été, après des recherches approfondies, je me suis rendue au Pays de Galles afin de photographier les « Yew Trees ». Ces arbres ont entre 850 à 1500 ans et ont été préservés. Ce qui fait d’eux les éléments vivants avec la plus longue
France 3 : Interview d'Olivier Spillebout et de Jessica Backaüs pour les Transphotographiques 2009
Ces photographies d’intérieurs, de paysages et de portraits, expriment secrètement le départ et la déperdition. Le projet de Jessica Backhaus est, dès aujourd’hui un « souvenir des choses passées ».
Le cycle Untitled de Patrycja Orzechowska est une série de citations de l’univers cinématographique. Aucun film en particulier n’est évoqué – il est plutôt fait allusion à des univers flous et indistincts.
L’exposition “I just want to see the boy happy” comporte un certain nombre de projets photos, de notes sur la vie quotidienne, de clichés commerciaux, tous en corrélation avec un thème central, un garçon polonais.
En plus des projets les plus récents, Krajewska/Wieczorek nous montre les photos de la série devenue culte : Injuries (2005-8) qui dépeint des personnes marquées par des accidents plus ou moins sérieux, des opérations, des blessures, des brûlures.
Malgré la présence, dans les photographies de Bara Prasilova, d’éléments réalistes issus du style de vie actuel, collections personnelles de stylistes ou encore travaux de créateurs, celles-ci semblent pourtant se référer à une histoire qui leur est propre.
Dita Pepe est une femme aux nombreux visages. Elle est tour à tour l’épouse pleine d’assurance d’un riche entrepreneur, une jeune femme simple de la campagne avec foulard et manteau de fleurs, assise avec une grand-mère habillée de façon similaire dans une maison de retraite
Petr Hrubes, époux (ancien copain de classe) de Dita Pepe, maîtrise parfaitement la technique de la photographie grâce à son travail de portraitiste d’importantes personnalités et de photographe de mode.
Au carrefour de l’Europe, de l’Asie et de l’Orient, la mer Noire jette un pont entre plusieurs mondes et s’apprête à changer de visage.
Les portraits magiques des jumeaux de la série Two peuvent être mis en parallèle avec les œuvres des anciens maîtres italiens et espagnols, celles des photographes August Sander, Diane Arbus, Rineke Dijkstra, Loretta Lux – dont les portraits captent les regards maléfiques de leur sujet,
Mes photographies sont le théâtre de mes rêves et de mes fantasmes. Elles sont la dernière étape d’un long processus de réflexion et de fabrication. Je dessine d’abord mes images qui sont souvent proches de rêves éveillés. Puis je crée les costumes, et décors nécessaires
Henrike a 28 ans, vit et travaille entre Berlin et Paris. Après plusieurs années consacrées à la photographie, comme mode d'expression personnelle, puis pour des commandes en mode et communication, elle l'utilise aujourd'hui comme un support qu'elle transforme en utilisant différentes techniques.
Cette série est un hommage à la peinture italienne de la renaissance, elle s’inspire de tableaux laïques célèbres (Cécilia Gallerani ou la dame à l’hermine de Léonard de Vinci, portrait d’un jeune homme de Lorenzo Lotto, Simonetta Vespucci de Piero de Cosimo, etc…).
Il n’y a pas une ombre d’humanité qui affleure sur les murs de la vaste entreprise photographiée par Francesca Bertolini. Il n’y a aucune trace : seulement les objets, papiers, cintres pour les vêtements – il s’agit d’une entreprise connue du secteur de la mode