Gilles Cruypenynck : Travelling Escaut
Ça fait longtemps qu’il avait envie de rendre hommage à l’Escaut, le fleuve des industriels, des industrieux et des poètes.
Ça fait longtemps qu’il avait envie de rendre hommage à l’Escaut, le fleuve des industriels, des industrieux et des poètes.
Une trace d’un passé plus ou moins lointain dont l’état de conservation, de délabrement ou même parfois la disparition programmée permet de mesurer l’intérêt d’une génération pour celles qui l’ont précédée et celles qui lui succèderont.
Ces images s’inscrivent dans un travail au long cours, «Europe - le plan B» , que nous menons sur les villes européennes dont le nom commence par la lettre B.
Comment parler de cette frontière, de cette expérience, de ce parcours entre le Nord Pas-de-Calais et la Belgique ? L’envie d’explorer cette région, de me placer dans l’espace de cette frontière qui n’existe plus, qui n’est plus matérialisée, qui est ouverte
Une des spécificités géographiques de la région Nord est sa proximité avec la Belgique. Comme toute région frontalière, celle-ci a vécu pleinement les changements induits par la signature des accords de Schengen.
Une des spécificités géographiques de la région Nord est sa proximité avec la Belgique. Comme toute région frontalière, celle-ci a vécu pleinement les changements induits par la signature des accords de Schengen.
C’est au cours de la commande sur Dunkerque passée par le Musée des Beaux Arts que Jürgen Nefzger a eu l’occasion de rencontrer un personnage marginal, vivant dans la banlieue, dans un espace précaire où il rassemble une multitude d’objets hétéroclites, un peu à la
Comment écrire le Nord, les Nords en photographie ? De ce vaste territoire aux blessures profondes, aux plaies encore ouvertes, j’ai voulu esquisser une géographie personnelle et fragmentaire de laquelle émane le territoire d’une génération qui se débat avec ses doutes, ses illusions, ses obsessions
Choisir de traiter un sujet comme celui du Hangar de Sangatte, c’est assembler dans un projet, mon souci d’historienne, mon désir d’artiste et mon émotion de citoyenne.
À l’aube du centenaire de la déclaration de la première guerre mondiale (2014), que reste-il comme symbole de cette période douloureuse et sensible ? Les monuments aux morts, lieux de mémoire en devenir.
Dans la région Nord-Pas-de-Calais, la photographie n’est ni le fruit d’une génération spontanée ni une causalité hasardeuse.
Cap au Nord ! Mais pas n’importe lequel : celui de la France et de sa voisine, la Belgique. Pour sa première participation aux Transphotographiques, Fetart est heureux de mettre en avant de jeunes photographes issus de ces régions, qui nous proposent leurs visions du
Quelle relation établir entre un portrait et un paysage, une communauté humaine et un territoire ? La lumière, répondent les photographies de Bogdan Konopka, car c’est elle qui façonne le réel, c’est par elle que nous touchons à l’épaisseur du monde.
Ce projet d’exposition est d'abord un hommage au travail artistique de Véra Cardot et Pierre Joly dont les photographies ont une dimension plastique qui dépasse le caractère documentaire.
Je m’intéresse à l’altérité radicale de lieux dont on ne vient plus perturber la lente existence, à ces espaces qu’on laisse là, dépossédés de leurs sens et de leurs fonctions, à ces étendues complètement autres, maintenant dépourvues de toute expérience quotidienne.
Je m’intéresse à l’altérité radicale de lieux dont on ne vient plus perturber la lente existence, à ces espaces qu’on laisse là, dépossédés de leurs sens et de leurs fonctions, à ces étendues complètement autres, maintenant dépourvues de toute expérience quotidienne.
Exposition collective autour du badge.
Le concept et l’image de la communauté ont été des éléments constants dans le travail de Jackie Nickerson, même si son principal thème de travail actuel reste le portrait individuel, ce qui pourrait sembler contradictoire.
L’originalité du présent travail de Sophie Deballe est de prendre pour objet de ses photographies des terrils omniprésents dans le paysage du bassin minier, mais jusqu’ici absents du regard.
Lorsque notre regard se pose sur la végétation florissante qui couvre les rocailles de la terre crétoise, une idée nous vient inconsciemment à l’esprit : la vie l’emporte sur les peurs, les incertitudes, sur tout ce qui est dans l’ombre.