Pascal Dash : Le Nord (le perdre)
Le travail de Pascal Dash a quelque chose du journal intime. Chaque jour, où qu’il soit, il essaie de voir le personnage dans ce qui se présente à lui.
Le travail de Pascal Dash a quelque chose du journal intime. Chaque jour, où qu’il soit, il essaie de voir le personnage dans ce qui se présente à lui.
Je m’intéresse à l’altérité radicale de lieux dont on ne vient plus perturber la lente existence, à ces espaces qu’on laisse là, dépossédés de leurs sens et de leurs fonctions, à ces étendues complètement autres, maintenant dépourvues de toute expérience quotidienne.
Je m’intéresse à l’altérité radicale de lieux dont on ne vient plus perturber la lente existence, à ces espaces qu’on laisse là, dépossédés de leurs sens et de leurs fonctions, à ces étendues complètement autres, maintenant dépourvues de toute expérience quotidienne.
J’ai travaillé sur ma série consacrée aux animaux pendant cinq ans, et en les prenant en photo, je cherche à photographier ma propre réaction face à leur présence.
Depuis 2009, le photographe FRED crée des œuvres contemporaines et faisant appel à des concepts classiques. D’abord celui d’anamorphose que l’on redécouvre grâce à lui, une fois le premier effet de surprise dépassé.
Michel Lagarde ne s’arrête pas aux frontières d’un art ni à celles d’une définition. Ses dramagraphie sont le résultat d’un travail considérable, empruntant au maquettiste et à l’architecte, au décorateur et au comédien, à l’éclairagiste et au peintre.
Dix photographes ont pris le chemin des écoliers munis de « jouets » : de simples boîtes de cartons aux coques de plastique. Ils proposent une vision du Nord au travers d’une photographie aléatoire.
Ni vraiment reportage ni tout à fait fiction, entre portrait et saynète, les photographies de Damien Peyret montrent le réel sans pour autant le dévoiler.
Aucune zone littorale n’échappe désormais à la planification humaine. Présente de manière évidente dans les zones industrielles et les stations balnéaires protégées par les digues, elle l’est jusque dans la délimitation et la gestion des zones naturelles préservées.
Marie Amar s’intéresse à la déclinaison du temps, de l’espace et de la matière. Elle s’approprie l’espace de La Brasserie, il est question de déplacement, de transcription, de codage et de poésie, de dérivation et de mue du territoire.
Nicolas Bluche reconstruit des images éparses issues du réel, que notre mémoire visuelle a collectées. Ces images sont ensuite recomposées afin de renoncer aux originaux dont elles sont issues, et ainsi nous placer face à une représentation illusoire, créée de toute pièce.
Dans cette série, Nicolas Kowalski s’intéresse ici à la mémoire visible ou invisible des lieux et des personnes.
L’originalité du présent travail de Sophie Deballe est de prendre pour objet de ses photographies des terrils omniprésents dans le paysage du bassin minier, mais jusqu’ici absents du regard.
Faire parler la terre Jean-Pierre Gilson est natif de Compiègne et le Nord, c’est sa terre natale. Amoureux de ses paysages et de ses ambiances, il photographie depuis cinq ans les petits chemins du Paris - Roubaix.
Réalisée en 2004, la série s’organise en deux parties distinctes dont la première partie s’intitule Surface. Elle représente des poignées de terre récupérées sur place pendant les deux mois où l’artiste a séjourné au Vietnam et photographiées en studio à son retour de voyage.
À première vue, « Sans gravité » est une série d’autoportraits à travers la planète. Mais c’est surtout une collection d’instants fulgurants de liberté, de bonheur et aussi de solitude face à l’immensité du monde.
Cette série de personnages, saisis de dos ou de profil, interroge de manière subjective les relations nouées entre l’homme et la nature. Plongés dans leurs pensées, le regard tourné vers un horizon qui parait aussi lointain qu’intime, des personnages solitaires investissent un décor dont ils
Alors qu’il étudiait l’histoire de l’art, Laurent Geslin découvre la photographie au travers d’auteurs classiques tels que Cartier Bresson, Raymond Depardon ou Martin Parr. Mais sa passion première, la vie sauvage, le conduit vers Stephen Dalton ou Jim Brandenburg.
Un simple désir d'aller à leur rencontre. La barrière de la langue ne nous a pas permis de beaucoup dialoguer, mais la photo nous a aidé à communiquer et échanger
Patrick Demarchelier est un photographe de mode français connu à travers le monde. À l’origine d’innombrables images emblématiques pour des magazines comme Vogue et Harper’s Bazaar, il est sans doute surtout célèbre pour ses portraits intimes de la princesse Diana